Image 33 of 34
OG2022B0024366.jpg
Joséphine Bryère-Théaul est maître de Conférences Université de Caen Normandie UFR Santé U1086 Inserm « ANTICIPE » Unité de Recherche Interdisciplinaire pour la Prévention et le Traitement des Cancers
"Lorsque j’ai dû choisir quelles études je souhaitais faire, l’objectif de travailler dans la recherche n’existait pas pour moi à ce moment-là. J’ai choisi mon orientation en fonction de ce j’aimais : les mathématiques. J’adorais la façon dont les objets s’articulaient dans une parfaite logique et dans une rationalité indiscutable. J’ai donc commencé par approfondir cette matière avant de m’orienter vers une discipline qui me permettrait d’appliquer toutes ces connaissances théoriques au monde qui nous entoure : les statistiques. En effet, elles faisaient pour moi le lien entre les grands théorèmes et la réalité. Une fois leur complexité acquise, j’ai souhaité intégrer le domaine de la recherche en santé et plus précisément de l’épidémiologie afin d’utiliser mes connaissances en mathématiques et statistiques pour améliorer la santé de la population. La santé est notre bien le plus précieux et l’épidémiologie, cette science qui étudie au sein des populations la fréquence et la répartition des problèmes de santé dans le temps et dans l’espace, ainsi que le rôle des facteurs qui les déterminent, utilise ces grands théorèmes qui me fascinaient tant pour extraire de tous ces gens unis dans une base de données des informations dans l’espoir d’améliorer leur santé dans le futur. C’est ainsi que j’ai trouvé la façon de mettre mes compétences en mathématiques au service de la santé."
"Lorsque j’ai dû choisir quelles études je souhaitais faire, l’objectif de travailler dans la recherche n’existait pas pour moi à ce moment-là. J’ai choisi mon orientation en fonction de ce j’aimais : les mathématiques. J’adorais la façon dont les objets s’articulaient dans une parfaite logique et dans une rationalité indiscutable. J’ai donc commencé par approfondir cette matière avant de m’orienter vers une discipline qui me permettrait d’appliquer toutes ces connaissances théoriques au monde qui nous entoure : les statistiques. En effet, elles faisaient pour moi le lien entre les grands théorèmes et la réalité. Une fois leur complexité acquise, j’ai souhaité intégrer le domaine de la recherche en santé et plus précisément de l’épidémiologie afin d’utiliser mes connaissances en mathématiques et statistiques pour améliorer la santé de la population. La santé est notre bien le plus précieux et l’épidémiologie, cette science qui étudie au sein des populations la fréquence et la répartition des problèmes de santé dans le temps et dans l’espace, ainsi que le rôle des facteurs qui les déterminent, utilise ces grands théorèmes qui me fascinaient tant pour extraire de tous ces gens unis dans une base de données des informations dans l’espoir d’améliorer leur santé dans le futur. C’est ainsi que j’ai trouvé la façon de mettre mes compétences en mathématiques au service de la santé."